Toulon : Le Théâtre Liberté en Novembre

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La ballata di Johnny e Gill
Théâtre
du jeudi 8 au samedi 10 novembre 20h30
Salle Albert Camus
Texte et mise en scène Fausto Paravidino
Conception Iris Fusetti et Fausto Paravidino
Avec Federico Brugnone, Iris Fusetti, Daniele Natali, Tibor Ockenfels, Fausto Paravidino, Barbara Ronchi (distribution en cours)
Spectacle multilingue surtitré en français
Auteur d’une douzaine de pièces jouées à Berlin, Londres, Oslo, Amsterdam ou encore Barcelone, Fausto Paravidino est au centre de la nouvelle génération de dramaturges européens. Avec ses complices, il rêve dans ce spectacle, inspiré par la Genèse, à un langage théâtral universel qui abolirait la barrière des langues.
Que feriez-vous si un jour Dieu vous promettait une descendance, la prospérité et la fortune ? Tel Abraham, Johnny est un homme très pauvre, qui vit avec sa femme Gill. Un jour apparaît un Dieu qui ne parle qu’à lui, peut-être est-ce un rêve ? Il lui propose un pacte : une promesse de descendance, la postérité et la fortune s’il émigre. Il prend sa femme sous le bras et, après diverses pérégrinations à travers l’Afrique et la Méditerranée, il arrive clandestinement à New York. C’est là qu’il tentera sa chance… Fasciné par la Bible, Fausto Paravidino poursuit son exploration du livre sacré en se focalisant sur le mythe de la tour de Babel et la figure du premier patriarche, Abraham. Conçu à partir d’ateliers menés dans différentes villes (New York, Genève, Toulon), La ballata di Johnny e Gill cherche à dépasser les barrières de la langue en invitant en scène toute forme de communication non verbale. La danse, les masques, la pantomime et les images s’enchevêtrent au verbe pour dire et raconter. Le metteur en scène s’empare du mythe et, s’amusant de toutes les analogies possibles, le fait dialoguer avec nous, aujourd’hui.
Première mondiale au Liberté
Production Liberté
Chorégraphie Giovanna Velardi
Création lumières Pascal Noël
Création sonore et vidéo Daniele Natali
Compositeur Enrico Melozzi
Masques Stefano Ciammitti
Production Le Liberté, scène nationale de Toulon
Coproduction Il Rossetti – Teatro Stabile del Friuli Venezia Giulia / Il Teatro Stabile di Torino – Teatro Nazionale / La Criée – Théâtre National de Marseille / Pôle Arts de la Scène / Les Théâtres de la Ville de Luxembourg

Chang
Cinéma-Musique
mardi 13 novembre à 19h30
Salle Albert Camus
Durée : 1h10
À partir de 7 ans
Film de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack, 1927
Avec le groupe Baron Samedi
Le groupe Baron Samedi met en musique Chang, film muet de 1927 entièrement tourné dans l’ancien royaume de Siam.
1927, dans la jungle thaïlandaise. Kru et sa famille vivent dans une maison sur pilotis. Entre tâches agricoles, chasse et détente avec un singe compagnon de jeux et de bananes, la vie dans cet environnement hostile est une lutte quotidienne. Un jour, ils capturent un éléphanteau, Chang. Mais sa mère, bientôt suivie du troupeau, vient le chercher. Comment alors, faire face à une telle force de destruction ?
Au rayon aventures ethnographiques, Chang est assurément un film culte que l’on a longtemps cru disparu. Une copie ayant été miraculeusement retrouvée en 1988, on peut à présent découvrir cette pépite réalisée par le duo qui signa par la suite un chef d’œuvre du cinéma fantastique, King Kong (1933). Exotisme, aventures et histoires fantastiques, tout est déjà là dans Chang, tourné pendant trois ans en décors naturels et sans effets spéciaux, la proximité avec les animaux sauvages s’avérant très dangereuse pour l’équipe et les
« acteurs ». Une merveille muette à découvrir avec la musique du groupe Baron Samedi dont les percussions, voix et bruitages exécutés à vue abolissent les distances géographiques et temporelles pour nous plonger aujourd’hui dans ce paradis perdu d’hier.
DANS LE CADRE DU FIMÉ #14
Percussions Michel Boiton et Christian Rollet
Harmonica, clarinettes, arc sibérien, guimbardes et flûtes Jean-Luc Peilhon
Son Thierry Cousin
Production Arfi

La douleur
Cinéma
mercredi 14 novembre à 20h30
Salle Albert Camus
Durée : 2h05
Film d’Emmanuel Finkiel, 2018
Avec Mélanie Thierry, Benoît Magimel, Benjamin Biolay, Shulamit Adar, Grégoire Leprince-Ringuet et Emmanuel Bourdieu
Le festival Portraits de femmes fête son 17e anniversaire. Il a pour vocation de défendre le cinéma de femmes qu’elles soient actrices, réalisatrices, scénaristes, auteures ou photographes, mais aussi d’incarner des moments de rencontre, de brassage culturel entre les artistes et le public.
Avec La douleur, adaptée du récit autobiographique de Marguerite Duras, c’est par un vibrant hommage aux femmes résistantes que débute le festival porté par Loutcha Dassa et son équipe de bénévoles.
Juin 1944, la France est toujours sous l’Occupation allemande. L’écrivain Robert Antelme, figure majeure de la Résistance, est arrêté et déporté. Sa jeune épouse Marguerite, écrivaine et résistante, est tiraillée entre l’angoisse de ne pas avoir de ses nouvelles et sa liaison secrète avec son camarade Dyonis Mascolo.
Puissant et singulier, La douleur est un immense film de cinéma et de littérature, un moment suspendu, à la fois glaçant et brûlant.
DANS LE CADRE DU FESTIVAL PORTRAITS DE FEMMES
DU 10 NOVEMBRE AU 1ER DÉCEMBRE 2018
Tarif : 6,50€
Réservations auprès des Chantiers du cinéma
04 94 09 05 31 ou 06 14 82 24 18

Trilogie des regards, de l’amour et des adieux –
ADDICTION (Baudelaire Scénario)
Théâtre-Musique
vendredi 16 novembre à 20h30
Salle Albert Camus
Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après les textes et poèmes de Charles Baudelaire et des textes écrits par les acteurs
Avec Sophie Affholder, David Ayala, Jérôme Castel, Zita Cochet et Bertrand Louis
Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich. Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.
À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.
Coproduction Liberté
Musique Bertrand Louis
Vidéo Zita Cochet
Régie générale et son François Turpin
Lumières Thierry Ganivencq
Assistantes Astrid Fournier Laroque et Silvia Mammano
Production Compagnie La Nuit Remue/ Montpellier
Coproduction Le Liberté, scène nationale de Toulon
Avec le soutien du Théâtre du Gymnase/ Marseille, du Théâtre dans les Vignes/ Couffoulens, Aude, du 11 • Gilgamesh Belleville/Avignon et du Théâtre de l’Escabeau/Briare, Loiret et le Théâtre Jacques Coeur/Lattes

Trilogie des regards, de l’amour et des adieux –
Sans moi
Théâtre-Musique
samedi 17 novembre à 20h30
Salle Albert Camus
Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après Minimum Respect et d’autres textes de Philippe Muray
Avec Sophie Affholder, David Ayala,
Jérôme Castel et Bertrand Louis
Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich. Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.
À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.
Coproduction Liberté
Musique Bertrand Louis
Photographies et vidéo Zita Cochet
Régie générale et son François Turpin
Assistantes Astrid Fournier Laroque et Silvia Mammano
Production Compagnie La Nuit Remue/ Montpellier
Coproduction Le Liberté, scène nationale de Toulon
Avec le soutien du Théâtre du Gymnase/ Marseille, du Théâtre dans les Vignes/ Couffoulens, Aude, du 11 • Gilgamesh Belleville/Avignon et du Théâtre de l’Escabeau/Briare, Loiret et le Théâtre Jacques Coeur/Lattes

Trilogie des regards, de l’amour et des adieux –
Un autre jour viendra
Théâtre-Musique
dimanche 18 novembre à 18h
Salle Albert Camus
Imaginé par David Ayala et Bertrand Louis
Mise en scène David Ayala
D’après des textes et des poèmes de Mahmoud Darwich
Avec Sophie Affholder, David Ayala, Jérôme Castel, Bertrand Louis, Astrid Fournier Laroque (chant lyrique) et Fida Mohissen
Et les artistes invités
(en alternance) Simon Abkarian, Ariane Ascaride, Sami Bouajila, Cécile Garcia-Fogel et Reda Kateb
Théâtre et musique s’entrelacent autour des mots de Baudelaire, Philippe Muray et Mahmoud Darwich. Une trilogie poétique orchestrée par Bertrand Louis et David Ayala pour s’enivrer de paroles (en)chantées.
À première vue, rien ne relie les vers fiévreux de Baudelaire, les pamphlets rageurs de Philippe Muray et la prose apaisée de Mahmoud Darwich. Pourtant, à y regarder de plus près, un fil unit les trois auteurs qui apparaissent comme autant de facettes distinctes de l’âme humaine. C’est ce fil que tirent le chanteur et musicien Bertrand Louis et le comédien et metteur en scène David Ayala pour un triptyque de théâtre musical qui entend faire dialoguer Baudelaire le solitaire, Muray le misanthrope et Darwich l’homme de la réconciliation.
Dans le premier spectacle ADDICTION (Baudelaire Scénario), le récit se noue autour d’un scénariste et son associée qui tentent d’écrire un scénario de film autour de la vie de Charles Baudelaire. Leur histoire inclurait notamment les parcours chaotiques de deux adolescents « en rupture sociale » dont les vies seraient bouleversées par leur rencontre avec la poésie. Le second spectacle (Muray) prend, lui, des allures de concert pop-rock (guitare, claviers, batterie) pour mieux galvaniser l’énergie rageuse de l’auteur contre notre époque gangrénée par le culte du divertissement et de l’« hyper-festif ». Enfin, dans le dernier spectacle d’après Mahmoud Darwich, deux acteurs, deux musiciens et des invités surprise s’unissent pour un récital poignant de poèmes dont certaines parties sont lues ou racontées en arabe classique par le comédien Fida Mohissen – des paroles de lumières, d’amour et de paix qui font écho à la terrible réalité d’un Moyen-Orient tragiquement déchiré.
Coproduction Liberté
Musique Bertrand Louis et Jérôme Castel
Production Compagnie La Nuit Remue/ Montpellier
Coproduction Le Liberté, scène nationale de Toulon
Avec le soutien du Théâtre du Gymnase/ Marseille, du Théâtre dans les Vignes/ Couffoulens, Aude, du 11 • Gilgamesh Belleville/Avignon et du Théâtre de l’Escabeau/Briare, Loiret et le Théâtre Jacques Coeur/Lattes

Bestie di scena
Inclassable
jeudi 22 et vendredi 23 novembre à 20h30
Salle Albert Camus
Durée : 1h
Conception et mise en scène Emma Dante
Avec Elena Borgogni, Sandro Maria Campagna, Viola Carinci, Italia Carroccio, Davide Celona, Sabino Civilleri, Roberto Galbo, Carmine Maringola, Ivano Picciallo, Leonarda Saffi, Daniele Savarino, Stéphanie Taillandier, Emilia Verginelli, Marta Zollet, Daniela Macaluso et Gabriele Gugliara
Tels les enfants d’Adam et Ève chassés du Paradis, quatorze interprètes, dénués de tout, explorent la fragilité de l’être humain. Un spectacle singulier qui ne peut laisser indifférent.
Avant toute chose, oubliez tout ce que vous connaissez du théâtre ! Avec ces bêtes de scène, pas d’histoire, pas de texte, pas de décor, ni même de costumes… C’est avec une page blanche mentale qu’il convient d’entrer dans la salle. Une page vierge sur laquelle la metteure en scène sicilienne Emma Dante invite chaque spectateur à y voir ce qu’il entend. Mais alors, de quoi s’agit-il ? Sur scène, quatorze comédiens-danseurs nus comme des vers sont là, face à nous, enfermés dans un lieu clos. Est-ce des bêtes dans un enclos ? Des humains égarés dans le jardin d’Eden ? Allez savoir… Ce qui est sûr, c’est que cette petite communauté d’êtres fragiles est confrontée à ses limites, à ses peurs et à ses joies avec une main invisible qui leur lance une bassine, un ballon, une poupée ou un balai. Soumis à différentes épreuves, ils sont à la fois victimes et cobayes de petites expérimentations à travers lesquelles les individualités se construisent peu à peu. Loin de toute provocation ou sexualisation des corps, Emma Dante révèle l’innocence des êtres. Une proposition radicale qui ravira les plus curieux.
FESTIVAL D’AVIGNON 2017
Lumières Cristian Zucaro
Régie plateau Gabriele Gugliara
Éléments de décor Emma Dante
Assistante de production Daniela Gusmano
Production Piccolo Teatro di Milano – Teatro d’Europa, Atto Unico / Compagnia Sud Costa Occidentale, Teatro Biondo di Palermo, Festival d’Avignon
Coordination et diffusion Aldo Miguel Grompone, Roma
L’activité internationale du Piccolo Teatro di Milano – Teatro d’Europa est soutenue par Eni.

Adishatz / Adieu
Théâtre
jeudi 29 et vendredi 30 novembre à 20h
Salle Fanny Ardant
Durée : 1h
Conception et interprétation Jonathan Capdevielle
Entre culture pop et chants traditionnels, souvenirs d’enfance et obsession pour Madonna, Jonathan Capdevielle se livre dans un (presque) solo qui tangue entre humour et gravité.
« Papa don’t preach, I’m in trouble deep… » Une silhouette adolescente s’avance vers nous, capuche sur la tête et micro à la main. Mais qui est cet être ambivalent ? Celui qui chante Madonna a capella, qui téléphone à son père resté dans les montagnes, troque son accent de Tarbes pour une voix de haute-contre et qui, le soir venu, se métamorphose en reine de boîte de nuit ?
Adishatz, « adieu » en patois pyrénéen, pourrait être l’itinéraire d’un personnage entre vie réelle et vie fantasmée. Comme il pourrait tout aussi bien être l’autoportrait fictionnel et chanté de Jonathan Capdevielle, interprète troublant qui révèle à chaque spectacle de nouveaux talents : acteur, danseur, chanteur, marionnettiste et ventriloque sont répertoriés à ce jour. À travers la force des chansons populaires qui provoquent en lui de profonds questionnements, il évoque son enfance, sa famille, ses racines et l’absence… Seul en scène, il donne corps et voix à ceux qui peuplent son imaginaire, des videurs de boîtes de nuit aux fameuses troisièmes mi-temps de rugby. Et dresse le portrait émouvant d’un être en devenir dont l’identité précise ne se révèle qu’à travers le regard de chaque spectateur.
Avec la participation d’Écume, ensemble choral universitaire de Montpellier
Direction musicale Sylvie Golgevit
Avec (en alternance) Pierre-Yves Bruzzone, Paco Lefort, Jean-Luc Martineau, Olivier Strauss, Carlos Vasquez et Benoit Vuillon
Lumière Patrick Riou
Régie générale Christophe Le Bris
Régie son Johann Loiseau
Collaboration artistique Gisèle Vienne
Regard extérieur Mark Tompkins
Assistance audio Peter Rehberg
Assistant artistique pour les tournées Jonathan Drillet
Production, diffusion et administration Isabelle Morel et Manon Crochemore (Fabrik Cassiopée)
Production déléguée Association Poppydog
La pièce Adishatz / Adieu a été portée en production déléguée par le Bureau Cassiopée jusqu’à janvier 2016 : production Anne-Cécile Sibué-Birkeland et diffusion/administration Léonor Baudouin et Manon Crochemore.
Coproduction Le Centre chorégraphique national de Montpellier dans le cadre de ]domaines[ / Centre Chorégraphique National de Bourgogne Franche-Comté à Belfort dans le cadre de l’accueil-studio / BIT Teatergarasjen
Avec le soutien du Centre national de la danse pour la mise à disposition de studios

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