messieurs ministre de la santé O Veran et monsieur Castex par Claude Escarguel
Nous sommes satisfaits de la prestation du ministre, ce jour 24/4 sur France Inter, qui après avoir déclaré au sénat que l’affaire de l’Hydroxychloroquine était terminée au vue de la publication américaine sans l’avoir vraiment étudiée (voir réponse de Docteur Raoult aux américains cf mignogni), a fait un rétropédalage et a même pour la première fois évoqué l’essai du traitement en tout début des symptômes (donc par les seuls médecins de ville), ce qui n’est pas le cas dans toutes les études précédentes (Discovery, Hycovid, Angers,etc…) et même dans l’étude de Montpellier demandée expressément par le président de la République,
les malades sont traités 10 jours après le diagnostic : ce qui est trop tard pour obtenir l’effet préventif des complications (voir tableau des mortalités), à savoir le passage du stade 1 (pas de signes respiratoires importants) au stade 2 début des signes de détresse respiratoire.
Seul l’annulation du décret et laisser de laisser la liberté aux médecins de ville de traiter (HCQ ou Azithromycine puisque son effet préventif est très efficace en monothérapie: cf retour terrain de nombreux médecins de ville) en leur âme et conscience en fonction du rapport bénéfices/risques doit être la règle pour un « déconfinement sécurisé »
La faible toxicité se vérifie sur l’étude des milliers de malades traités par le Plaquénil dans les maladies chroniques auto-immunes (lupus, polyarthrites Rhumatoïdes, etc..) cf les recoupements de la CNAM.
En vous remerciant de prendre en compte ces quelques remarques sans prétentions, dont le seul but est de vous éviter à continuer à faire « fausse route » sous la pression des « orthodoxes de la méthodologie » , attitude inadaptée en temps de guerre contre ce virus: reconnaitre ses erreurs n’est pas un drame, d’autant que les vrais responsables ne sont pas les politiques mais les « scientifiques idéologues » qui les ont conseillé (voir PJ coupables et responsables)..