Renaud Muselier candidat à sa succession

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Les 20 et 27 juin prochains,
je serai candidat aux élections régionales de Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Depuis plusieurs semaines, j’ai régulièrement eu l’occasion de rappeler que je ne prendrais cette décision que si mon bilan était à la hauteur et reconnu par tous.
Beaucoup d’épreuves ont marqué ces années, à commencer par les attentats de Nice et Marseille, les gilets jaunes, la crise sanitaire, économique, sociale et bien sûr la tempête Alex.
Il s’est passé chez nous quelque chose de remarquable : nos cinq millions d’habitants ont démontré qu’ils étaient des femmes et des hommes debout, solides dans l’adversité, fiers de ce qu’ils sont et déterminés à faire face.
Être à la barre dans les tempêtes que nous vivons est une immense responsabilité.

Avec beaucoup d’humilité, j’ai aimé relever ce défi à leurs côtés, avec chacune et chacun d’entre eux.
Avec l’ensemble de ma majorité, nous avons été à la manœuvre, en permanence, pour faire des propositions,trouver des solutions, apporter de l’aide à tous ceux qui en ont besoin, sans jamais laisser personne sur le bord du chemin.

Le 13 décembre 2015, les électeurs de Provence-Alpes-Côte d’Azur nous ont élu, avec Christian Estrosi et l’ensemble de notre équipe, à la tête de notre région.
Depuis bientôt quatre années, j’ai l’honneur d’en être le président, avec un bilan solide à l’appui.
Ce bilan nous est reconnu par des acteurs majeurs du monde de la culture que nous n’avons jamais abandonné, du monde économique que nous avons toujours soutenu, le tissu associatif et sportif qui a prouvé son dynamisme, et par plus d’un millier d’élus locaux qui ont rejoint mon comité de soutien.

Ceux qui me connaissent le savent : ma colonne vertébrale, c’est ma région. Elle est solide ! Je suis un homme de la droite et du centre, qui sait additionner et rassembler. Je l’ai toujours fait tout au long de ma vie : travailler avec les meilleurs, ouvrir les bras, fédérer les compétences d’où qu’elles viennent. Je l’ai d’ailleurs également appliqué en tant que Président des Régions de France.

Mon bilan est reconnu par ma famille politique – elle m’a apporté son soutien, je l’en remercie et j’en suis honoré – ainsi que par l’aide proposée par des personnalités de tous les horizons qui me proposent leur aide.

Les 8 composantes politiques qui forment la majorité régionale me soutiennent aussi : tout au long de cette mandature, il n’a jamais manqué une seule voix à notre action. Jusqu’à la dernière heure de ce mandat, je me battrai pour la poursuivre, car ces deux mois sont cruciaux.

  • Il y a nos lycées à rouvrir le 3 mai, on est prêt.
  • Il y a une campagne de vaccination à accélérer, pour protéger notre santé : on va continuer.
  • Il y a des examens à organiser pour les étudiants, c’est opérationnel.
  • Il y a des cafés et des restaurants à rouvrir, des festivals à organiser, une vie sociale et culturelle à retrouver : on va la reconquérir.

Je veux que la Fête des terrasses, le 1er juillet prochain, soit un succès. Néanmoins, les crises actuelles sont loin d’être terminées ! Les deux calendriers se percutent, celui du retour à la vie et celui de la campagne électorale. Je les mènerai de front, avec un seul mot d’ordre en toutes circonstances :

Notre région d’abord !

Dans cette élection va se décider le destin de cette région et de tous ceux qui y vivent, pour les 6 ans à venir.
Des Provençaux, des Alpins, des Azuréens, et de personne d’autre !
Je suis une homme du Sud, je parle avec tout le monde, je travaille avec les gens raisonnables, je sais fédérer les énergies.
Fort de mon bilan, de ma fidélité à mon engagement politique et de mon expérience, je constituerai en toute liberté la liste la plus large possible, sans accord d’appareils, pour affronter les difficultés de demain avec calme, efficacité et pragmatisme. Cette liste soutiendra mon bilan, et partagera mon projet.

Notre région d’abord, et avant tout ! Et pour les six ans qui viennent, l’avenir de notre région sera mon unique boussole. Les slogans simplistes, la caricature permanente, ou le marchepied pour la campagne présidentielle de Marine Le Pen ne prendront pas en otage le destin de cinq millions d’habitants. Notre région d’abord, et avant tout ! Rien ne me fera changer de cap.

Renaud Muselier,
Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur

 

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