Histoire toulonnaise

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Mardi 16 octobre 2018, centre ville de Toulon. L’automobiliste naïf qui s’engage sur les artères principales de la ville, ce jour là, en fin de matinée, ne sait pas dans quel piège il va tomber…
Destination, le parking de la Gare : l’accès est fermé par une barrière… Ce n’est pas grave : les parkings de la Place de la Liberté sont proches… Mais non, impossible de s’engager si l’on respecte les signaux lumineux, qui indiquent tous deux que l’espace est « saturé ». L’angoisse commence à monter, car, curieusement, il n’y a pas une seule place libre dans les rues adjacentes.
Direction le parking de la Place d’Armes : il est également fermé et annonce « complet »…
Entre les travaux, sur l’axe principal de la ville, les voitures garées en double file, les piétons qui ne sont pas toujours disciplinés, les sirènes des ambulances ou des pompiers, la recherche d’un emplacement pour se garer tourne au cauchemar ! De toutes façons, l’heure du rendez-vous initialement prévu est largement dépassée. La solution ? Rentrer à la maison et prendre le bus. Et là, tout s’éclaire : en fait, Toulon fait sa révolution écologique en douceur et prouve – ce que l’on pressentait déjà – que le centre ville est désormais impraticable sur quatre roues. Le problème, c’est qu’il est aussi dangereux pour les deux roues. Mais la leçon sera retenue : désormais, les transports en commun doivent être privilégiés, car « C’est l’Apocalypse, Carpentier ! » comme dirait le Commandant Van Der Weyden…

N.F.

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