Réunion publique contre la guerre,
mercredi 24 mai à 18 h
salle Lanza, Solliès-Toucas, chemin du Pont de Pey (autre adresse pour les GPS : 1089, avenue des Senes, à Solliès-Pont)
Nous, militant·es politiques, syndicalistes, jeunes, signataires à titre individuel de l’Appel : Halte à la guerre ! (haltealaguerre.fr), organisons une soirée d’échanges en relais des mouvements pour la paix et l’arrêt de la guerre entre la Russie et l’Ukraine.
La situation internationale se tend et rythme les choix du gouvernement français, guidés par les intérêts des grands groupes financiers et industriels, ExxonMobil, TotalEnergies, tous les grands groupes d’armement ou encore ceux qui lorgnent déjà sur les milliards nécessaires à la reconstruction de l’Ukraine.
Le régime macroniste installe une grave crise sociale, économique et démocratique dans notre pays. L’augmentation du budget militaire de 40 %, avec une Loi de Programmation Militaire à hauteur de 413 milliards jusqu’à 2030, et la volonté d’instaurer un Service national universel (SNU) sont autant de signes inquiétants pour l’avenir.
L’actualité sur la réforme des retraites résonne en France comme la volonté de Macron de nier la contestation sociale et de nous faire taire à coups de matraque.
Il est urgent de s’opposer à ces politiques mortifères, ne nous laissons pas confisquer notre liberté d’opinion et de parole. Pour préserver l’humanité, il faut arrêter cette marche à la barbarie. La guerre de Poutine comme celle de l’OTAN n’est pas notre guerre.
Dans de nombreux pays d’Europe (Allemagne, Italie…), des manifestations pour la paix expriment le rejet de la guerre par les peuples de la vieille Europe, déjà berceau de deux guerres mondiales.
Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent exiger un cessez-le-feu immédiat en Ukraine à se regrouper dans le cadre de notre réunion publique. Nous y discuterons également des dispositions à prendre pour accueillir comme il se doit la « tournée » gouvernementale du village SNU, qui doit faire étape à Toulon le samedi 3 juin, afin de refuser un dispositif qui cherche à mettre au pas la jeunesse.
Premiers signataires :
Andrea (jeune LFI), Sandrine Baert, Anne Conflant (LFI), Isaline Cornil (POI), Sabine Cristofani- Viglione (LFI), Carlos Lobo (LFI), Louise (jeune), Noémie (jeune), Pablo (jeune), Henri Pidoux (Toulon Port de paix), Serge Raynaud (syndicaliste et militant LFI-NUPES), Franck Servel (syndicaliste dans la défense), Nicolas Taieb (syndicaliste enseignant).
