Des livres et vous

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Chef d’orchestre ou centaure. de Marc Minkowski
Confessions

208 pages
Format : 15 x 21 cm
ISBN : 9782840499039
Prix : 21,00€
Éditions Séguier

Il est l’un des chefs d’orchestre les plus talentueux de sa génération. À la tête des Musiciens du Louvre, l’ensemble qu’il a fondé en 1982, et sur les plus grandes scènes internationales, Marc Minkowski transmet son amour pour le répertoire classique depuis quarante ans. Dans ces pages, ce presque autodidacte qui se définit lui-même comme « chef d’instinct » lève le voile sur les coulisses de son art : avec toute la liberté et l’énergie qui ont fait sa réputation, il raconte son approche du métier, son rapport aux musiciens, aux chanteurs, aux metteurs en scène d’opéra et directeurs de maison ou de festival, les villes avec lesquelles il entretient un lien spécial (Paris, Vienne, New York…), sa vision des politiques culturelles, ses admirations, ses débuts, sa famille et ses origines. Mais également son autre passion, la vie avec les chevaux et l’équitation, qui l’a notamment conduit à collaborer avec Bartabas pour la création de spectacles uniques réunissant art équestre et musique.
Marc Minkowski

Musicien et chef d’orchestre français, Marc Minkowski est né en 1962. Fondateur des Musiciens du Louvre, le principal ensemble sur instruments d’époque en Europe, il a également occupé au cours de sa carrière différentes fonctions de direction d’institutions telles que la Mozartwoche de Salzbourg, le Sinfonia Varsovia, l’Opéra national de Bordeaux et le festival Ré Majeure. Pour ce livre, il s’est confié à son ami fidèle, Antoine Boulay, président délégué des Musiciens du Louvre, président de l’ensemble Aedes et acteur engagé de la scène classique en France, notamment à travers son festival d’automne dédié à la musique française, Ouverture.

La Chine et ses démons d’ Emmanuel Dubois de Prisque
Aux sources du sino-totalitarisme

352 pages
format : 145 x 220 mm
EAN13 : 9782415003586
Prix : 24,90€
Éditions Odile Jacob

La gouvernance de plus en plus totalitaire du régime chinois se voit aujourd’hui fortement contestée, notamment en Occident. En revanche, la Chine, en tant que civilisation, fait l’objet d’une étrange complaisance.
Et pourtant, le « système de crédit social », la volonté de « siniser » les religions, de « rééduquer » les peuples non hans comme les Ouïghours, l’obsession de la « pureté » idéologique, la lutte contre le « démon » de la pandémie ne se comprennent que si nous acceptons de regarder sans pudeur la culture chinoise et la façon dont elle imprègne la Chine contemporaine.
C’est précisément ce que fait Emmanuel Dubois de Prisque dans ce livre. S’inspirant des travaux de René Girard, il montre que la politique chinoise obéit à des rites sacrificiels dont le souverain est à la fois le grand prêtre et la victime potentielle – des premiers empereurs jusqu’à Mao Zedong ou Xi Jinping.
Ce faisant, il éclaire la part d’ombre de la Chine et en souligne les risques alors que cette dernière paraît bien décidée à imposer au monde ses propres normes culturelles face à un Occident affaibli et englué dans sa propre culpabilité.

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