Lettre ouverte de Philippe Bartier, à l’ensemble de mes colistiers et de mes nombreux soutiens qui désirent une CCIV moderne et proche des entrepreneurs varois
L’arrivée de notre liste dans la course à la gestion de la CCI du Var n’est pas passée inaperçue. Après l’indifférence du début, le mépris ensuite et la pression sur certains d’entre vous, nous avons subi l’invalidité de candidats. Encore aujourd’hui se pose la question sur les tenants et les aboutissants du traitement par rapport aux listes de la CCI.
Directeur Général de la CCI du Var, Stéphane Gueydon, fonctionnaire d’une institution publique de l’état, est par conséquent soumis au devoir de réserve. Comme le prévoit la loi, il n’a pas le droit de prendre partie durant la campagne qui doit conduire à l’élection d’une équipe nouvelle à la tête de l’institution, quel qu’en soit le motif, sauf à le traiter directement avec l’intéressé.
Sortir de son devoir de réserve, c’est ce qu’il a fait, en se permettant d’envoyer un courriel, à titre personnel, à des adresses mails échangées dans le cadre de ma campagne, dans le but de défendre les équipes de la Chambre, dont je redis, et j’ai toujours dit, que ce sont des professionnels d’un grand niveau.
Souhaitant atteindre ma notoriété à travers ce courriel d’une belle bassesse, il n’a fait que confirmer sa malhonnêteté intellectuelle, dans la tâche qui lui incombe à la CCI, avec l’espoir de vous destabiliser, tous, un par un.
Pour continuer dans cette logique de « peur » (de perdre le jouet ?) , j’ai reçu, jeudi 13 Octobre, d’une personne « bien informée » un message m’informant que Mr Gérard Cerutti, Président de l’UPV, était parvenu à faire changer d’avis une personne de notre liste.
Aujourd’hui j’ai la réponse, puisque plainte contre X a été déposé par le colistier n’ayant pas validé les documents que vous avez tous signés. Je tiens de ces informations de journalistes de presse locale, en date du mardi 18 octobre 2016.
Ma réponse à cette situation en deux points :
1/ Je suis en possession des documents signés par le colistier et surtout de la photocopie de sa carte d’identité, document très personnel que j’avais demandé, car n’étant pas présent lors de sa venue dans le Var dans le semaine 37.
2/ Je suis très surpris par la méthode employée. Si une personne ne souhaite plus faire partie de ma liste, il me téléphone et me le dit, de la manière la plus simple possible. Nous n’avons ni braqué, ni forcé personne à nous rejoindre dans ce projet que nous menons depuis plusieurs mois, maintenant.
A la vue de cette politique de la “pression psychologique“ que nous subissons, mon équipe, mes proches et moi-même, depuis trop longtemps, nous sommes encore plus renforcés dans notre envie de proposer un changement radical.
Tant que je focalise leurs inimitiés, je résisterai.
Nous gagnerons ensemble.
Amitiés
Philippe Bartier
