Par Michel Durbano
Je lis ici où là les pleurnicheries de Jean-Louis Masson qui se plaint d’avoir été victime « d’une campagne de caniveau de la part de [ses] opposants ». Osant même un honteux « Où étaient-ils pendant le confinement » ? Je rappelle que pendant que Mr le député se mettait en scène (sans masque la plupart du temps), nous avions nous, du personnel médical au chevet des malades, des comptables en train de sauver des entreprises et des salariés, des ingénieurs qui tentaient de maintenir des infrastructures, des professeurs qui maintenaient l’éducation de nos enfants … ainsi que tous les autres qui, par le fait d’être restés à la maison, ont sauvé des vies, sans attestation de député pour aller faire des photos !
La victimisation est aussi une technique politicienne, ce qui est triste c’est qu’elle est empruntée aux populistes en tous genres. Peut-être faut-il chercher de ce côté-là pour comprendre de tels arguments … Cela n’honore pas le président départemental des LR.
Je mets au défi quiconque de prouver que ma campagne est une campagne de caniveau. Tous mes communiqués sont en ligne, ainsi que mes discours et mes interventions.
Jean-Louis Masson a eu effectivement des « soucis » pendant la campagne, mais il les doit à sa propre majorité qui a littéralement volé en éclat. Les attaques les plus virulentes sont venues de son propre camp, elles sont simplement la conséquence de tous ses errements derniers dans la gestion de la ville.
Les électeurs sauront s’en souvenir le 28 Juin.
Michel DURBANO
