… et je ne suis jamais allé à l’école d’André Stern
Traduit de l’allemand par Olivier Mannoni
Format 14x19cm
128 pages
ISBN : 978 2 330 07800 3
Prix : 25€
Éditions Actes Sud
L’auteur livre dans cet ouvrage un plaidoyer captivant pour l’avènement d’une confiance inconditionnelle dans le développement naturel de nos enfants. Au lieu de chercher à optimiser les performances et la compétitivité, il nous invite à miser sur le développement individuel et les rythmes intimes de l’enfant.
Pour l’enfant, le jeu libre est une nécessité. Une prédisposition, un penchant, souvent un impératif.
Il dénonce une société qui prône à outrance la performance et l’optimisation : que ce soit à la maison, à la maternelle ou à l’école, les enfants sont constamment poussés vers cette direction, dans le but d’obtenir les meilleurs résultats possible. La concurrence, les attentes, les systèmes d’éducation et de normalisation soumettent les enfants et leurs parents à une énorme pression – qui fait, depuis longtemps, de très nombreuses victimes.
Dans ce contexte, le jeu de l’enfant est dégradé au titre “d’activité pour les loisirs”, ses capacités naturelles restent incomprises et d’innombrables possibilités de développement lui sont dérobées. André Stern plaide pour la confiance dans les dispositions naturelles de l’enfant et nous invite à laisser les enfants jouer librement. Car lorsqu’ils font l’expérience de notre confiance dans leur développement spontané, nos enfants s’enthousiasment, et c’est précisément en jouant, sans contrainte et avec bonheur, qu’ils apprennent vraiment.
Manger autrement de Stéphane Gacon & Thomas Grillot
Collection: laviedesidées.fr
Nombre de pages: 112
Code ISBN: 978-2-13-073639-4
Numéro d’édition: 1
Format 12.5 x 19 cm
Éditions Presses Universitaires de France
Il est entendu que nous mangeons mal. Trop gras, trop sucré, trop carné, trop lacté, trop debout, trop seul, trop vite, trop souvent, trop tard dans la nuit, sans mâcher, sans savourer, sans besoin, sans envie. La liste s’allonge de jour en jour de ces péchés supposés de savoir-vivre et d’irresponsabilité envers notre corps, l’environnement, la société. Car nos fringales coûtent cher. Il faudrait donc, nous disons-nous souvent, manger autrement. À y regarder de plus près, le problème est ancien, tout comme l’est l’exhortation à manger mieux. « Manger autrement » propose de revenir sur ce vieux problème en proposant des regards divers et convergents : ceux d’un économiste, d’une philosophe, d’une géographe, d’un agronome et d’un spécialiste du paysage, et deux historiens et d’une anthropologue. À l’arrivée, un constat : manger autrement, c’est faire de la politique… autrement mais peut-être aussi, las, à l’ancienne !
