Des livres et vous

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Se débarrasser du capitalisme est une question de survie de Paul Jorion
EAN : 9782213704517
EAN numérique : 9782213706429
Code article : 3491819
304pages
Format : 135 x 215 mm
Éditions Fayard
Une machine à concentrer la richesse, laissant une poignée de vainqueurs face à une armée de vaincus : voilà ce qu’est devenu le capitalisme. L’État-providence n’aura duré qu’une saison, la révolution technologique en cours réduit le marché de l’emploi.
Le court-termisme règne en maître, la défense de privilèges aussi exorbitants que médiocres bloque toute tentative de sauvetage.
La finance et l’économie pouvaient être réformées au lendemain de l’effondrement de 2008. Rien n’a été fait. Le verdict est sans appel : nous n’apprenons pas de nos erreurs ! Si bien qu’aujourd’hui, se débarrasser du capitalisme est devenu, pour l’humanité, une question de survie.
Paul Jorion propose une analyse sans concession et des pistes d’espoir : oui, la spéculation peut être interdite comme autrefois ; oui, l’État-providence doit être inscrit une fois pour toutes dans nos institutions ; oui, un projet européen ressuscité pourrait être le fer de lance d’un véritable redressement ! Seule la volonté fait défaut.
Anthropologue et sociologue de formation, Paul Jorion révolutionne depuis dix ans le regard que nous portons sur la finance et l’économie. Son récent ouvrage, Le dernier qui s’en va éteint la lumière, a d’ores et déjà laissé sa marque.

Paul Jorion était l’invité de Pierre Weill sur France Inter, à l’occasion des 10 ans de la crise des subprimes. : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20/l-invite-de-8h20-07-aout-2017

Seul au monde de Sébastien Destremau
264 pages
Format : 153*240 mm
Prix : 19,90 euros
ISBN : 9782374480084
Éditions XO
Il a affronté ses peurs, la solitude, les douleurs de son enfance.
L’incroyable récit de l’homme qui est allé au bout du Vendée Globe.
« J’ai 52 ans, cinq enfants, et un bateau avec lequel j’ai fait le tour du monde. Pour participer à cette aventure du Vendée Globe, j’ai tout cédé, tout sacrifié, tout vendu. Aujourd’hui, je ne possède rien, ni carrière, ni chez moi. Mais j’ai peut-être conquis le bien le plus précieux : ma liberté.
De l’Atlantique aux mers du Sud, je n’ai pas doublé grand monde mais je me suis dépassé chaque jour, chaque nuit, chaque heure, presque chaque minute. « Il ne passera pas l’équateur… », avançaient les plus optimistes. Finalement, je l’ai passé. Dans les deux sens. Et aussi le cap de Bonne-Espérance, le cap Leeuwin, le cap Horn, ce caillou mythique où tant de marins ont englouti leurs rêves. Le mien a survécu. Je sais enfin ce qu’est devenu l’enfant qui s’était juré de briser l’injustice et d’épater les siens.
De là-haut, je suis sûr que mon père, avec qui ce fut si difficile quand j’étais petit, me regarde. Peut-être même est-il étonné… »
Le livre de Sébastien Destremau n’est pas l’histoire d’une course, c’est l’histoire d’une vie. Dix-huitième et dernier à avoir franchi la ligne d’arrivée aux Sables d’Olonne, le 11 mars 2017, celui qui n’avait jamais fait une course en solitaire a remporté une formidable victoire sur lui-même.

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