Des livres et vous

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La Prière ou l’Art de recevoir de Denis Marquet

224 pages
Format : 136 x 209 mm
Isbn : 9782080412157
Prix : 20€
Éditions Flammarion

S’ouvrir à la grâce par la prière
La perte d’un emploi ou d’un être cher, une maladie, une dépression sont des événements qui nous paraissent d’abord impossibles à surmonter. Mais le temps de l’épreuve, inéluctable dans une vie humaine, je peux le vivre aussi comme une révélation, celle de la vérité qui fonde toute prière : j’ ai accès, à l’intérieur de moi, à une Source d’inspiration, de puissance, de justesse qui me dépasse infiniment, donne sans limites et ne m’appelle en aucune manière à souffrir.
Qu’est-ce que prier ? Qui prions-nous ? Quelles sont les conditions spirituelles à respecter pour que notre prière soit exaucée ? Comment prier ? Que demander dans nos prières ? Pour répondre à ces questions, il faut partir de l’enseignement fondamental du Christ sur cette manière de vivre nouvelle qu’il est venu offrir à l’humanité : prier, c’est m’ouvrir à ce plus que moi à l’intérieur de moi, pour recevoir la plénitude de ma vie et le vrai bonheur auquel j’aspire.

Sans feu ni lieu de Jacques Ellul

416 pages
format : 108 x 178 mm
ISBN : 9791037111562
Prix : 10,50€
Éditions La Table Ronde

Signification biblique de la Grande Ville
«La Ville est par excellence le monde de l’homme, créée par lui pour lui, mesure de sa grandeur, expression de toute civilisation, mais en même temps elle est le témoin de la démesure humaine, œuvre de l’avidité d’argent et d’ambition, dont les hommes deviennent esclaves.»
Ainsi s’exprime Jacques Ellul dans cet ouvrage qui a connu un succès considérable aux États-Unis.
À travers la Bible, l’auteur découvre une surréalité de la ville. À l’origine, elle est dressée contre Dieu. Caïn, condamné à l’errance éternelle, se fait bâtisseur avec toute sa postérité : il s’agit de créer le nouveau Paradis de l’absence de Dieu. C’est pourquoi toutes les villes sont maudites : Babel, Babylone, Ninive…
La cité qui était recherche de l’unité perdue, liée à la puissance et à la guerre, devient le lieu de la non-communication et cause sa propre perte… Mais au cours de l’histoire biblique, en Jérusalem, Dieu ratifie le projet humain de la ville. Jérusalem, sans cesse détruite et rebâtie, devient signe et prophétie de la Cité sainte. La dialectique de l’auteur culmine dans son interprétation à travers la destruction et l’anéantissement, du jardin à la ville…

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