Des livres et vous

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Le Père et la nouvelle paternité de Jean Le Camus & Monique Eizenberg

192 pages
Format : 145 x 220 mm
EAN13 : 9782738155665
Prix 20,90€
Éditions Odile Jacob

Qu’est-ce qu’un père ?
En quoi son rôle est-il différent de celui de la mère ? Quelle place occupe-t-il dans le développement de l’enfant ?
Entre le modèle classique de la paternité incarné par le père sévère, garant de l’autorité, et celui totalement opposé du papa poule des années 1980, une nouvelle paternité s’est aujourd’hui peu à peu affirmée.
Pour la première fois, un spécialiste reconnu du développement de l’enfant, Jean Le Camus, et une psychanalyste, Monique Eizenberg, s’associent pour retracer la longue construction de la figure paternelle au cours de l’histoire et ses formidables évolutions lors des dernières décennies.
Cette double approche nous fait comprendre en quoi et comment le père a gagné sa place et pourquoi l’enfant a tant besoin de cette nouvelle paternité pour réussir son entrée dans la vie.

Jean Le Camus est psychologue, professeur émérite des universités et spécialiste du développement du petit enfant. Il a notamment publié Le Vrai Rôle du père, Comment être père aujourd’hui, Le Père et l’Enfant. À l’épreuve de la séparation.

Monique Eizenberg est psychologue clinicienne et psychanalyste membre de la Société psychanalytique de Paris, ayant une longue expérience en libéral.

 

Ma vie entre des lignes d ‘ Antoine Blondin

512 pages
format :108 x 178 mm
ISBN : 9791037110138
Prix : 11,20€
Éditions La Table Ronde

« Des personnages de bonne volonté, dont le courage s’accommode aimablement d’un peu d’absurdité charmante, ont promené leurs mains à travers des greniers de bibliothèques et des caves de journaux pour assembler une centaine de chroniques, élues parmi les quelque deux mille articles que je m’ étais appliqué à égarer depuis quarante ans. »

Une myriade d’amis, de sportifs, d’écrivains, d’artistes et de personnalités politiques se promène dans ces chroniques, écrites par Antoine Blondin entre 1943 et la fin des années 1980. Aux côtés de Paul Morand, Marcel Aymé ou Jean Giraudoux pédalent Jacques Anquetil et Louison Bobet, tandis que la Callas, « plus radieuse qu’une aube », chante Norma la Douce au Palais Garnier et que les académiciens Goncourt en prennent pour leur grade, « précédés par leur canne, leur ventre ou leur réputation ».

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