Des livres et vous

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Ella Fitzgerald, Les sessions photographiques de Jean-Pierre Leloir
Les années françaises de Lady Swing à travers l’objectif de Jean-Pierre Leloir
275 x 330 mm
192 pages
EAN 9782344039106
Prix 39,95€
Éditions Glénat

Lorsque Ella Fitzgerald arrive en Europe dans les années 1950 et se produit sur les plus grandes scènes avec le trompettiste Louis Armstrong, puis avec le grand orchestre de Dizzy Gillepsie, elle est déjà connue pour son immense talent vocal et rythmique.

Lors de ses premiers concerts en France, elle remarque rapidement un photographe pourtant discret, et souvent accompagné d’une femme qui lui porte son équipement : M. et Mme Leloir travaillent en étroite collaboration. Près de la scène, dans les coulisses ou les couloirs des aéroports, sur les principaux festivals français, Jean-Pierre Leloir a trouvé dans le personnage de Ella Fitzgerald une icône photographique. Leur complicité et le respect mutuel de ces deux artistes se retrouvent aujourd’hui dans cet ouvrage qui retrace quarante ans de carrière en France à travers plus de 250 photographies souvent inédites, d’extraits de carnets et d’agenda. Des grandes scènes parisiennes aux festivals plus pointus, des soirées mondaines aux moments de complicités artistiques entre Ella et ses musiciens, Jean-Pierre Leloir a toujours cherché à montrer la beauté et la pureté de l’instant, le moment où l’artiste enchante le public de sa voix divine.

Winston CHURCHILL : Mes grands contemporains
288 pages
Format : 12 x 18 cm
EAN papier : 9791021040946
Prix : 9.5 €
Éditions Tallandier

De ces grands contemporains qu’il a presque tous connus personnellement, Winston Churchill dresse des portraits inoubliables, servis par un style étincelant.

On retient naturellement les grands Britanniques qu’il a côtoyés, dans le monde littéraire (Bernard Shaw, H.G. Wells), militaire (Haig), diplomatique (Lawrence d’Arabie) ou politique (Roosevelt, Édouard VIII). Mais ce virtuose de la plume fait aussi la part belle aux étrangers : sa charge contre Trotski, jamais rencontré mais sans cesse combattu ; son portrait tout en nuances de Guillaume II, le Kaiser déchu ; les réflexions sur le mime, où le conduit son admiration pour Charlie Chaplin, n’ont rien perdu de leur actualité. Son numéro d’équilibriste quand il traite en 1937 du « caporal Hitler », devenu tout-puissant chancelier d’Allemagne, a acquis un intérêt accru avec le recul. Enfin, la lucidité de son analyse des deux France, celle de Clemenceau et de Foch, reste d’une étonnante pertinence.

 

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