Imaginez qu’une ou plusieurs religions interdisent la pratique de l’usure dont les conséquences économiques, sociales, et écologiques sont désastreuses pour l’économie. La religion serait alors l’ennemie ultime d’un système qui repose sur l’usure.
Dans cette guerre ayant pour objectif de détruire toute idée de religion, tous les coups bas seraient permis, dont celui de réécrire l’histoire pour faire porter à la religion tous les malheurs du passé et de ceux d’aujourd’hui.
Réécriture de l’histoire mais aussi financement et mise en avant de tout écrivain, artiste, philosophe, homme politique, qui abhorrent l’idée de l’Éternel. L’objectif serait au mieux de détruire l’idée de Dieu, au pire de la cantonner à la sphère purement privée.
Ce travail de sape a été mené depuis des siècles contre les religions, aidé par les dérives et le manque d’exemplarité des institutions religieuses ou de ceux qui s’en proclament.
Mais si les valeurs universelles de justice et d’équité prônées par les religions devaient reprendre du terrain, les usuriers auraient du souci à se faire. Rien n’est plus dangereux pour le système usurier que des gens n’ayant que la justice comme seule lumière pour les guider.
Anice Lajnef
PS : Certains diront qu’ils n’ont pas besoin de Dieu pour être guidés par la justice et l’équité. Mais si l’on a conscience que Dieu est présent en nous, alors on peut comprendre que ceux qui agissent avec une sincérité pure peuvent avoir une connaissance du bien et le servir.
