Ancien professeur de Lettres à Toulon, Olivier Maurel estime que « la fessée est contre éducative » et regrette qu’elle fasse encore trop souvent d’un mode éducatif. Ce non-violent convaincu argumente en s’appuyant sur son expérience professionnelle et parentale. Il reprend certains des arguments d’un livre (« Vingt siècles de maltraitance chrétienne des enfants ») qu’il vient de publier aux Editions Encrétoile.