Le partage et l’échange de données entre chercheurs étaient censés révolutionner la science. Mais, pour le moment, la mise en commun des découvertes reste théorique et bordélique.
En 2002, un article du Washington Monthly explorait une nouvelle tendance –la «biologie en open source»– et se demandait si «une bande de biologistes échangeant librement leurs données innove mieux que des chercheurs traditionnels». L’idée de base était la suivante: au lieu de planquer leurs données et d’empêcher quiconque de les utiliser, il valait mieux que les scientifiques mettent en commun leurs découvertes.
Plus de dix ans plus tard, on ne parle plus … Lire l’article de Lily Hay Newman