Georges Brassens pour le plaisir

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Georges Brassens est né le 22 octobre 1921 dans un quartier populaire du port de Cette1 (le nom de la ville n’est orthographié Sète qu’en 1982, un changement de graphie qu’il évoque comme étant à l’origine de sa « première tristesse d’Olympio » dans la chanson Jeanne Martin3).

Dans la maison familialenote 1, il est entouré de sa mère, Elvira (née Dagrosa, 1887-1962), de son père, Jean-Louis (1881-1965, maçon, comme ses parents l’étaient avant lui), de sa demi-sœur Simone Comte (1912-1994), née du premier mariage de sa mère, et de ses grands-parents paternels, Jules et Marguerite (née Josserand), natifs de Castelnaudary4.

Sa mère, dont les parents sont originaires de Marsico Nuovo dans la région de la Basilicate en Italie du Sud5, est une catholique d’une grande dévotion. Veuve de guerre d’Alphonse Comte, tonnelier tué au front6 (27 août 1881-28 octobre 1914), père de Simone, la demi-sœur de Georges, Elvira épouse en 1919 Jean-Louis Brassens, un entrepreneur de maçonnerie. Le père de Georges est un homme paisible, généreux, libre-penseur, anticlérical (il refusera d’assister à la communion de son fils7) et doté d’une grande indépendance d’esprit. Deux caractères très différents qu’une chose réunit : le goût de la chanson. D’ailleurs, tout le monde chante à la maison. Sur le gramophone, les disques de Mireille, Jean Nohain, Tino Rossi ou Ray Ventura et ses Collégiens.(merci wiki)

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