Des livres et vous

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La blessure et la grâce de Gabriel Ringlet

271 pages
format : 12,5x19cm
Isbn : 978 2226 481528
Prix : 19,90€
Éditions Albin Michel

Gabriel Ringlet renoue avec une démarche qui a passionné tant de ses lecteurs : approcher l’Évangile par un autre chemin. Pratiquant une sorte de journalisme de la parabole, il prend plaisir à nous faire (re)découvrir celui qu’il appelle le Tendre de l’Évangile, au départ d’un film, d’une chanson ou d’un fait divers, à travers une cinquantaine d’histoires courtes parfois surprenantes.

Une tendresse qui fait école car, au cœur de ce parcours souriant et mouvementé où se rencontrent la blessure et la grâce , ce sont nos affections que Gabriel Ringlet interroge, comme nos inquiétudes et nos solidarités.

Avec une conviction forte: l’Évangile n’est pas achevé. Chacune, chacun, croyant ou non, peut s’en emparer. Et tant mieux si les poètes et les romanciers aident à le revisiter.

Théologien et écrivain, Gabriel Ringlet été longtemps professeur et vice-recteur à l’Université catholique de Louvain-la-Neuve. Membre de l’Académie royale de Belgique, connu pour ses prises de position humanistes, il a publié une vingtaine d’ouvrages, notamment aux éditions Albin Michel.

Dictionnaire amoureux de la Toscane d’ Adrien Goetz

656 pages
Format : 132 x 201 mm
EAN : 9782259278997
Prix : 26,50€
Éditions Plon

De la littérature aux jeux vidéo, la Toscane, terre de Renaissances, rayonne à travers le monde et fournit à une nouvelle génération d’autres rêves florentins qui prolongent ceux d’autrefois, la promesse d’un âge d’or, fait de complots, de luttes et de mystères.
« L’absence d’unité de la Toscane m’a beaucoup frappé quand j’ai eu la chance d’être un assez mauvais élève à la Scuola normale superiore de Pise, l’École normale italienne créée par le pouvoir napoléonien, petite sœur de l’École normale française avec laquelle elle a maintenu une tradition d’échanges. C’est durant cette période que j’ai séché presque tous les cours et visité la Toscane, et je n’ai cessé d’y retourner depuis.
La Toscane mériterait d’être un État indépendant. Parce que les Toscans se reconnaissent comme un peuple, celui des « Tusci », c’est-à-dire les Étrusques, et qu’ils ont rêvé, génération après génération, à cette ascendance mythique revendiquée au XIXe et au XXe siècles.
Ce qui traverse les siècles, c’est cette certitude, pour ceux qui aiment les arts, d’avoir en Toscane une maison de vacances, une retraite pour se consacrer à la musique, aux musées, aux petites églises qu’il faut se faire ouvrir, aux folles dépenses dans des boutiques dont les vitrines sont agencées avec talent, au Pecorino poivré, « pepperato », podestat des fromages, et tant pis si chacun sait que ce sont des clichés. La Toscane qui, de la littérature aux jeux vidéo, fournit à une nouvelle génération d’autres rêves florentins qui prolongent ceux d’autrefois, la promesse d’un âge d’or, fait de complots, de luttes et de mystères. Cette Toscane idéale, qui n’a cessé d’évoluer, de vivre sans cesse des « Renaissances », s’est transmise dans l’imaginaire, à travers le monde.
Ce dictionnaire se veut ainsi : une mosaïque et un rêve. »

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