7 et 8 Août : CLERAMBARDPar la Compagnie Le Grenier de Babouchka, Création 2015 / Résidence d’été Festival Théâtre In Situ de Marcel Aymé
Mise en scène : Jean-Philippe Daguerre. Avec Annie CHAPLIN
« Despote domestique imbu, malgré sa misère, de l’ancienneté de sa race, le comte de Clérambard maltraite sa famille et tue, tant par plaisir que pour les manger, tous les animaux qu’il rencontre. Un miracle, l’apparition de saint François d’Assise, va l’amener à se repentir…«
« Despote domestique imbu, malgré sa misère, de l’ancienneté de sa race, le comte de Clérambard maltraite sa famille et tue, tant par plaisir que pour les manger, tous les animaux qu’il rencontre. Un miracle, l’apparition de saint François d’Assise, va l’amener à se repentir…«
10, 11, 12 Août : LE CID
de Pierre Corneille
Par la Compagnie Le Grenier de Babouchka, Création 2015 / Résidence d’été Festival Théâtre In Situ
Mise en scène : Jean-Philippe Daguerre
« Don Diègue et le comte de Gomès projettent d’unir leurs enfants Rodrigue et Chimène, qui s’aiment. Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant une gifle (un « soufflet » dans le langage de l’époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue…«
de Pierre Corneille
Par la Compagnie Le Grenier de Babouchka, Création 2015 / Résidence d’été Festival Théâtre In Situ
Mise en scène : Jean-Philippe Daguerre
« Don Diègue et le comte de Gomès projettent d’unir leurs enfants Rodrigue et Chimène, qui s’aiment. Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant une gifle (un « soufflet » dans le langage de l’époque). Don Diègue, trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue…«
Vendredi 14 Août : LE LAVOIR
(Prix Charles Oulmont 2011)
Textes de Dominique Durvin et Hélène Prévost
Mise en scène : Brigitte Damiens
« À l’aube d’une chaude journée d’août 1914, les femmes se pressent au Lavoir. Là tout peut se dire : les joies, les peines, les injustices… Alors elles parlent, chantent et travaillent comme elles empoignent la vie, entre rires et larmes. Dans quelques heures éclatera la guerre… »
(Prix Charles Oulmont 2011)
Textes de Dominique Durvin et Hélène Prévost
Mise en scène : Brigitte Damiens
« À l’aube d’une chaude journée d’août 1914, les femmes se pressent au Lavoir. Là tout peut se dire : les joies, les peines, les injustices… Alors elles parlent, chantent et travaillent comme elles empoignent la vie, entre rires et larmes. Dans quelques heures éclatera la guerre… »