Le Télégraph : C’est l’histoire d’une rencontre

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C’est l’histoire d’une rencontre entre deux François. En octobre, à la sortie du premier confinement, Le Telegraphe accueillait l’atelier D’Offard, accompagné par un certain François Alix. 4 ans et 1010 fleurs plus tard, ce dernier revient armé de fer pour habiller notre cour intérieure.

C’est aussi l’histoire de leur rencontre avec Rona Hartner : quand François Veillon l’érigeait au rang de Marraine, François Alix la surnommait avec affection Milady. Envolée il y a bientôt un an, Mille et Dix fleurs au cœur phosphorescent vont être installées en guise d’hommage, sur l’un des murs de pierre du Telegraphe.

C’est une histoire de plomb qui se transforme en or, non de fer qui se transforme en fleurs. Celle d’un homme épopée, qui se dit an-art-chiste, ayant apprivoisé l’acier pour en faire un jardin mirifique. Petit-fils de Vulcain, lointain cousin du Facteur Cheval, neveu d’Urbain Grandier ou de Klaus Kinski, François Alix est alchimiste.

Il sera au Telegraphe à partir du 25 novembre, pour installer plus de 1000 corolles, dont vous pourrez peut-être même peindre le pistil…

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