Il a dû en faire sourire plus d’un, notre « porte-parole de l’Élysée » en assurant le 26/2, – alors que la contestation du peuple algérien se manifeste un peu plus chaque jour contre la 5è candidature du président sortant Bouteflika visiblement plus en état de gouverner le pays- « la France n’avait pas vocation à s’immiscer dans la vie politique de l’Algérie » !
Du Vénézuéla, oui, car Macron a été prompt à apporter son soutien suivi par celui de l’UE à Trump qui, sans mandat de l’ONU et pour cause, a décidé de déstabiliser le président sortant légitimement élu et de promouvoir un président-bis, au prétexte fumeux que le pays subit une crise profonde que lui-même a provoquée. Allant jusqu’à menacer ce pays souverain d’intervention militaire directe !
Deux poids, deux mesures : en Algérie on ferme les yeux, au Vénézuéla on met le faux-nez de l’humanitaire pour encourager l’épreuve de force.
Quelle cohérence, quel cynisme, quelle soumission au belliciste Trump, le « bâtisseur »…de mur !
René Fredon