Les gestes parlent davantage que les mots, aujourd’hui comme hier.
Et pourtant plus rien n’est comme avant. Par le geste le nouveau Président aurait pu nous dire qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir, et cette joie-là est inépuisable, au lieu d’ânnoner un texte creux.
Il aurait pu nous parler d’un ordre où nous nous mettons les uns au service des autres, dans la société, dans nos familles, dans nos entreprises, dans notre département du Var, le plus grand au service du plus petit, le plus fort au service du plus fragile. C’eut été une force révolutionnaire plus forte que ce discours bien pâlichon que ce nouveau Président semblait découvrir.
« Comment faut-il vous appeler… Monseigneur ? » Dans un éclat de rire, suggérons de répondre : « Appelez-moi… Mon serviteur ! » eut plus de panache, si les plumitifs du nouveau Président du Conseil Départemental avaient d’autres lettres que les trois qui forment le mot sot.
Les gestes parlent davantage que les mots, aujourd’hui comme hier.
Et pourtant plus rien n’est comme avant. Par le geste le nouveau Président aurait pu nous dire qu’il y a plus de joie à donner qu’à recevoir, et cette joie-là est inépuisable, au lieu d’ânnoner un texte creux.
Il aurait pu nous parler d’un ordre où nous nous mettons les uns au service des autres, dans la société, dans nos familles, dans nos entreprises, dans notre département du Var, le plus grand au service du plus petit, le plus fort au service du plus fragile. C’eut été une force révolutionnaire plus forte que ce discours bien pâlichon que ce nouveau Président semblait découvrir.
« Comment faut-il vous appeler… Monseigneur ? » Dans un éclat de rire, suggérons de répondre : « Appelez-moi… Mon serviteur ! » eut plus de panache, si les plumitifs du nouveau Président du Conseil Départemental avaient d’autres lettres que les trois qui forment le mot sot.