La dermatose nodulaire existe depuis 96 ans. En 2025, elle a décidé, comme par magie, de venir chez nous, l’année où l’Union européenne impose l’importation de viande provenant de pays qui ne respectent pas les normes sanitaires qu’elle impose à nos agriculteurs.
Qu’en pense le Professeur Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches en biochimie :
« La dermatose nodulaire contagieuse (DNC) des bovins est une maladie virale due à un Capripoxvirus, proche des virus de la variole (ovine et caprine). Les principaux vecteurs de transmission sont les moustiques, les taons et les mouches piqueuses.(ndlr : il y a en encore en décembre en France?) Dans une moindre mesure, la transmission virale peut se faire par les sécrétions et lésions cutanées. La période d’incubation virale est généralement de 4 à 14 jours (jusqu’à 28 jours). La maladie se traduit par l’apparition de nodules et de lésions cutanés (et des muqueuses), des œdèmes et un amaigrissement des bêtes. Le virus est actuellement présent en Afrique, en Asie (Chine, Inde, etc.), au Moyen-Orient, et en Europe de l’Est. Et maintenant en France !
L’abattage systématique des vaches en raison de la dermatose nodulaire contagieuse peut être considéré comme un scandale pour plusieurs raisons, qui sont à la fois scientifiques, éthiques, économiques et sanitaires.
La maladie est bénigne dans la majorité des cas (et rarement mortelle) : le taux de mortalité est souvent inférieur à 1 %, même sans traitement. Dans la majorité des cas, les vaches infectées guérissent spontanément en quelques semaines. Les lésions cutanées peuvent être spectaculaires, mais sont non graves dans la plupart des cas.
Le virus n’est pas zoonotique (il ne se transmet pas de l’animal à l’humain) : aucun cas de transmission à l’homme n’a jamais été documenté. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique humaine (la DNC n’affectant que les bovins).
Des mesures « alternatives » existent, dont l’isolement temporaire des animaux malades, et/ou des traitements symptomatiques combinés (par exemple, une combinaison d’Ivermectine, d’antibiotiques, et d’analgésique). »







catastrophe « grâce » au sacro saint (!!) principe de précaution du à l’homme qui flattait le cul des vaches
sur cette base peut être que l’on devrait éliminer tous les malades du covid ou de la grippe pour éviter la propagation ????