Alors qu’à Belém (Brésil) la COP 30 nous rappelle l’urgence d’agir contre le dérèglement climatique, alors que 32 % des émissions de gaz à effet de serre sont dus au transport, alors que la seule réponse possible réside dans un mode de transport collectif attractif, c’est-à-dire rapide, efficace, de grande capacité et zéro émetteur de carbone, les élu·es de la majorité métropolitaine choisissent le BHNS contre le TRAMWAY.
Ce n’est pas un hasard si toutes les métropoles ont fait le choix du tramway.
Comme l’ont montré de nombreuses études, y compris celle du CEREMA, le TRAMWAY est, de très loin, la meilleure solution, notamment par rapport à la configuration de Toulon et de sa métropole.
Le TRAMWAY est en site propre, il est plus rapide et transporte plus de passagers : une voie de tramway permet de faire passer 4 500 passagers par heure, à comparer à une voie de voiture ou de bus, qui ne permet de n’en faire passer que 1 500.
Deux voies de TRAMWAY remplacent donc six voies de voitures.
Le TRAMWAY est plus confortable et plus inclusif, moins cher à moyen terme, plus étroit et donc mieux adapté à la géographie toulonnaise, au contraire du BHNS qui a une plus grande emprise spatiale.
Se lancer dans la réalisation d’un BHNS serait une erreur stratégique majeure… et n’apporterait aucune amélioration notable pour les usagers pradétans.
Alors qu’une ligne de TRAMWAY, colonne vertébrale d’un réseau de bus, permettrait le développement d’un système multimodal de transports en commun et de transports « doux » : piétons et vélos.
Connecter Le Pradet à un réseau de transports structuré autour du TRAMWAY, c’est redonner l’espoir de pouvoir se déplacer de manière confortable, sûre, ponctuelle et non polluante…
Le Printemps Pradétan dit clairement NON au BHNS et OUI au TRAMWAY !
